Souvent teintées d'humour et porteuses d'une morale, les $$Fables$$ furent publiées en 12 livres entre 1668 et 1694. Elles puisent essentiellement leur source chez d'autres fabulistes ou dans des récits populaires. Sélection de fables avec notes et anecdotes sur l'oeuvre de l'auteur et les hommes de son temps.
Après les fables illustrées, le lecteur retrouvera La Fontaine et ses personnages dans le supplément de jeux et d'informations.
Une tortue, un corbeau, un lièvre, une fourmi, un lion, et même un pot au lait : autant de figures familières qui peuplent, parmi tant d'autres, notre imaginaire, resurgissent régulièrement, et que nous devons toutes au fabuleux talent de Monsieur de La Fontaine. Il est le prince des poètes, lui qui a su transformer une tradition un peu rigide, celle de la fable, en un art exceptionnel, qui charme l'oreille tout en réjouissant l'esprit, réveille les bois, anime les animaux et parvient à toucher tous les hommes. Moralité : on [...] aurait tort de ne pas se replonger dans la lecture des Fables, qui ravissent les enfants et enchantent les adultes ! Leur pertinence impertinente est sans doute à l'origine de leur succès ininterrompu : qu'on les récite, comme à l'école, qu'on se les répète pour soi seulement ou qu'on se les "mette en bouche", comme le fit avec un bonheur évident le comédien Fabrice Luchini, on ne résiste pas au petit plaisir d'une fable. --Karla Manuele
"La Fontaine fait son cinéma" est un nouveau programme de La Chouette du cinéma. Cette fois, La Chouette du cinéma est partie récolter six courts métrages en forme de fables, de petites histoires, avec des animaux, qui contiennent une leçon de vie. 6 courts métrages : - La loi du plus fort (Pascale Hecquet - 6mn21) : Un petit ouistiti se voit contraint de céder la banane qu'il vient d'attraper à deux singes beaucoup plus gros que lui. Mais il va trouver une habile ruse pour récupérer son repas. - Le corbeau et le renard (Pascal [...] Adant - 6mn27) : Jean de la Fontaine adapte sa célèbre fable "Le corbeau et le renard" au cinéma, mais le tournage ne se passe pas tout à fait comme prévu... - La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le boeuf (Pascal Adant - 6mn15) : Alors qu'il tente de réaliser un documentaire sur la rainette, Jean de la Fontaine se retrouve finalement à mettre en scène une de ses plus célèbres fables. - Rumeurs (Frits Standaert - 7mn58) : Trois lièvres entendent un bruit étrange et font courir une folle rumeur auprès de tous les animaux de la jungle. - La poule, l'éléphant et le serpent (Fabrice Luang-Vija - 4mn41) : Que se passe-t-il lorsqu'on réunit un éléphant, une poule et un serpent ? - Le pingouin (Pascale Hecquet - 5mn19) : Un pingouin trouve la banquise trop froide à son goût et décide de se rendre sous les cocotiers... En bonus : Animatique de l'épisode "La loi du plus fort".
Ce récit mêle habilement le quotidien au fantastique, l'auteur n'hésitant pas à y introduire Molière, Boileau... Un roman initiatique qui nous conte l'union de Psyché, l'Ame, et de Cupidon, l'Amour, en nous berçant par les délices du français le plus pur
Texte de l'édition originale de 1668 pour les six premiers livres. Pour les cinq livres suivant, il s'agit de l'édition parue en 1678-1679, et, pour le dernier livre, le texte imprimé en 1693.
Une tortue, un corbeau, un lièvre, une fourmi, un lion, et même un pot au lait : autant de figures familières qui peuplent, parmi tant d'autres, notre imaginaire, resurgissent régulièrement, et que nous devons toutes au fabuleux talent de Monsieur de La Fontaine. Il est le prince des poètes, lui qui a su transformer une tradition un peu rigide, celle de la fable, en un art exceptionnel, qui charme l'oreille tout en réjouissant l'esprit, réveille les bois, anime les animaux et parvient à toucher tous les hommes. Moralité : on [...] aurait tort de ne pas se replonger dans la lecture des Fables, qui ravissent les enfants et enchantent les adultes ! Leur pertinence impertinente est sans doute à l'origine de leur succès ininterrompu : qu'on les récite, comme à l'école, qu'on se les répète pour soi seulement ou qu'on se les "mette en bouche", comme le fit avec un bonheur évident le comédien Fabrice Luchini, on ne résiste pas au petit plaisir d'une fable. --Karla Manuele